Libération des mémoires cellulaires

Se libérer d’entraves engrammées dans nos mémoires cellulaires est un des possibles ouvrages à réaliser avec l’énergie cristalline et vibratoire des bols de cristal. Nous sommes des êtres vibratoires par nature. Tout le vivant répond à cette loi cosmique de la résonnance qui révèle, entre autres choses, comment l’énergie se répand dans l’Univers. Tout vibre dans un mouvement incessant et rien n’est jamais à l’état de repos. Nous ne percevons tout simplement pas les plus infimes mouvements du vivant, dont ceux de nos cellules. Qui plus est, notre mental n’a aucune prise sur ces mémoires actives !

Nous savons aujourd’hui que ce qui se passe à l’intérieur se manifeste à l’extérieur. Le contraire est tout aussi vrai, par effet de résonnance et d’accordage. En tournant le regard vers notre intériorité, nous percevons ô combien les événements sont liés avec ce que l’on vibre en soi, mais que l’on ignore. Ce sont nos mémoires cellulaires qui sont à l’œuvre. Un peu comme un aimant, elles attirent les événements, les circonstances, les personnes, les faits… etc. qui ont des fréquences vibratoires identiques ou très proches.
Si l’on ne pose pas son attention sur ces phénomènes et que l’on avance sans remise en question, sans mise-en-sens, nous risquons de répéter la programmation. La résonnance reste la même et nous nous accordons aux mêmes situations extérieures ! Nous répétons un schéma plus ou moins conscient et plus ou moins consenti aussi.

Le Docteur Pert, chercheuse américaine en pharmacologie, auteure de « les molécules des émotions » et de plus de 250 publications scientifiques, a montré que notre physiologie et notre psychologie sont constamment en train de s’influencer et de co-créer des états d’être. Bien que le Dr Pert soit loin d’être la seule à s’aventurer sur ce pont entre l’esprit et le corps, ses recherches aident à comprendre combien ce dialogue se fait dans l’intimité même de nos cellules.

Synthétiquement, nous pouvons dire que les mémoires cellulaires correspondent à toutes les informations qui sont inscrites dans les cellules du corps humain. Notre corps, et plus précisément l’eau de notre corps et l’ADN du noyau cellulaire. Les cellules conservent une empreinte mémorielle de ce que l’on vit. Elles gardent aussi une trace vibratoire de ce qu’ont vécu nos lignées, nos ancêtres. On parle d’engramme.
Et comme le disait Mère (Mirra Alfassa, Paris 1878 – Inde 1973) : « le corps est notre bibliothèque ». Il dispose des rayonnages de notre histoire et de celle de l’humanité, dont les clés sont au cœur du corps ! Notre ADN détient à la fois des informations et les clés de leur origine.
D’autre part, les travaux de Bruce Lipton sur « La biologie des croyances » sont une mine d’enseignements pour mieux comprendre comment les cellules communiquent et par quoi elles sont influencées. Chercheur et ancien professeur de médecine, il a examiné en détail les mécanismes par lesquels les cellules reçoivent et traitent les informations, ou encore comment l’ADN est contrôlé par des signaux provenant de l’extérieur de la cellule, y compris les messages énergétiques émanant de nos pensées positives ou négatives.

Toute souffrance, physique, psychique, émotionnelle, spirituelle, transgénérationnelle… se traduit dans notre corps. Notre cerveau et notre psyché trouvent des moyens ingénieux pour oublier les informations trop douloureuses et y survivre. Mais le corps, lui, nous ramène sans fin à cette information qui y est inscrite.
Il la traduit par des douleurs, des symptômes, du mal-être, des automatismes ou des schémas cognitifs et comportementaux répétitifs. En réalité, c’est un signal ! Cela signifie que quelque chose n’a pas été identifié et « libéré ».

Ainsi, ces réminiscences, ou mémoires non-reconnues, sont une invitation à regarder de plus près ce qui se passe à l’intérieur. Mais aussi à faire sauter le verrou de nos protections. Puis, à libérer une part de soi pour, finalement, être libre de soi.
Les mémoires cellulaires sont donc des programmes que l’on peut déprogrammer.

Le bol de cristal est un instrument de haut niveau vibratoire, et il l’élève de manière exponentielle. De plus, il apaise et clarifie pensées et émotions. Ainsi, le calme qui s’en suit permet d’observer ce qui se vit à l’intérieur de soi. Ce n’est pas « magique ». Il faut accepter d’être l’Acteur principal et responsable de sa vie. Regarder avec authenticité ses pensées et ses croyances ; tenter d’identifier certains de ses schémas cognitifs, ses attitudes et comportements dans des situations précises… et leurs boucles de conséquences pour soi et pour les autres. Pas si simple lorsque l’on a conscience que tout est relié. Il faut trier et parfois accepter que l’on ne sache pas clarifier « le pourquoi du comment ».

“Quand l’esprit ne résiste plus, qu’il ne fuit ni ne blâme ce qui est, mais se contente d’être conscient avec passivité, il s’aperçoit que, dans cette passivité même, vient une transformation.” Jiddu Krishnamurti

Dénouer les émotions pour délier les mémoires cellulaires

Le bol de cristal apaise l’intensité de nos émotions. Il a ce pouvoir de dénouer ces champs informationnels en quelques dizaines de minutes. Cela laisse la place à des perceptions plus fluides et plus fines de l’énergie qui circule en soi. Notre champ de conscience s’est clarifié car les « émotions voyagent à la fois dans le royaume de l’esprit et dans celui du corps » et permettent l’échange d’informations entre les deux.  Les unes ne vont pas sans l’autre !

Le Dr Mario Beauregard, chercheur en neuro-psychologie de l’université de Montréal, auteur de « Les pouvoirs de la conscience », a étudié les effets des expériences transcendantales sur le cerveau. Il considère notre esprit comme les physiciens quantiques considèrent les quanta. Ces unités de base de notre matière opèrent la plupart du temps sous forme d’ondes non localisables dans l’espace-temps. Cependant, elles deviennent des particules parfaitement localisées lorsqu’on les mesure. Notre esprit ferait un peu la même chose. Il se manifesterait à la fois comme une onde non localisée dans l’espace-temps et comme une particule parfaitement réelle ici et maintenant. Ainsi, la conscience peut opérer à la fois de manière localisée, c’est à dire de manière somatique, dans le corps, ou de manière non-localisée, ce qui lui donne accès à des informations hors du corps. Cette étude réhabilite l’intrication entre la psyché et le corps, donc de penser une unité du corps et de l’esprit dans l’espace-temps.

Ainsi, œuvrer à la libération de nos mémoires cellulaires avec un bol de cristal, agit de manière locale et non-locale tout-à-la-fois ! Cette incroyable danse vibratoire passe par le corps et par notre psyché qui communiquent entre eux, harmonieusement et instantanément.

La ré-information vibratoire

Biensur, on ne change pas son histoire.
On ne change pas non-plus radicalement en quelques minutes de pratique.
En revanche, on va s’employer à se réinformer vibratoirement. Surnaturel ? Pas tout à fait…
Les cellules perçoivent les vibrations émanant du bol en quartz. Les informations vibratoires sont transmises quasi-instantanément par les cils vibratiles de leur membrane, grâce au milieu aqueux dans lequel elles baignent, ainsi que celui qu’elles contiennent et dans lequel se trouve le noyau (et l’ADN).
Par ailleurs, les états d’être générés par les vibrations du bol de cristal, se transmettent aux cellules qui mémorisent l’information. C’est la première étape.

Sri Aurobindo disait : « Le surnaturel est un naturel que nous n’avons pas encore atteint ou pas encore compris, ou dont nous n’avons pas encore conquis le moyen. » – Pensées et Aphorismes –

Reconnaître le programme de nos comportements, par exemple, ne suffit pas. C’est une étape. Il s’agit surtout de reprogrammer. Et, vous l’avez compris, cela ne se fait pas avec la simple volonté.

La méthode de sonothérapie avec le bol de cristal permet à la conscience d’accéder au cycle cérébral alpha puis d’aller au-delà. Vous n’entendez alors plus rien consciemment. Pourtant, votre « inconscient » perçoit et intègre l’information en cycle thêta. L’information d’une intention peut alors s’enregistrer.

L’intentionnalité puis la volonté de changer qui survient en deuxième temps, sont de puissants outils lorsqu’ils sont adjoints au quartz . Il s’agit alors de bâtir de nouvelles habitudes. Cela nécessite une pratique régulière. Il ne s’agit, bien évidemment, pas de coller un post-it sur le réfrigérateur pour changer ! Il nous faut agir en conscience, acter l’intention, la laisser reprogrammer nos mémoires cellulaires. La répétition d’un nouveau comportement créé une nouvelle habitude qui se manifestera par la suite dans notre vie.

La psycho-sonologie énergétique avec le bol de cristal va activer certaines fréquences de notre cerveau, afin qu’il soit pleinement ouvert à un nouvel apprentissage. Le but étant de réécrire ces programmes. Cela peut nécessiter un accompagnement thérapeutique psycho-émotionnel pour une nouvelle lecture de la réalité. Le but étant de créer de nouveaux liens de causalité, une ouverture vers une autre manière de vivre tel ou tel évènement. Cela permet une plasticité neurale, créant ainsi de nouveaux circuits neuronaux. Et la nouvelle programmation prend sa place, surtout si vous en valider les bénéfices en toute conscience.

Un article sur la pratique de libération est en ligne sur le Blog de Cristal Vibrasons dans le menu « guide pratique ». Pensez à vous en inspirer pour votre pratique.

Concernant la déprogrammation posturale, n’hésitez pas à consulter le Centre de formation en posturologie clinique – CIES Collége International d’Etude de la Statique – et/ou le site du Dr Alain Baujet.

NAMASTE
Muriel Lacombe

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